Les plus pauvres vivent d’abord dans les villes-centres

L’édition 2014 de « France, portrait social » établi par l’INSEE vient une nouvelle fois apporter la confirmation qu’au sein des aires urbaines, les revenus sont généralement plus élevés dans la périphérie que dans la ville-centre ou dans la proche banlieue. Depuis 2007, la crise a accru ces disparités puisque la poussée du chômage a percuté d’abord les populations peu qualifiées qui vivent en ville.

Le Centre d’observation de la société évoque à juste titre, dans un article qui relate ces derniers chiffres, que les difficultés sociales contemporaines sont à retrouver dans les grandes agglomérations, là où la concurrence interurbaine pour capter les flux économiques entraîne à la fois un fort développement économique, mais également une grande pauvreté.  

 

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