ISF et Contrats aidés : la révolte du maire de Grigny

130 000 personnes ne vont plus payer l’ISF et on dit à des gens pour qui un contrat aidé est un marchepied, qui retrouvent de la dignité grâce à cela… Ne peut-on pas avoir une unité nationale pour des quartiers où 40% sont en dessous du seuil de pauvreté ? Nous voulons être entendu car sinon les dépenses qui seront à faire dans dix ans, seront dix fois plus importantes. Localement, de droite comme de gauche on peut arriver à une unité nationale à l’échelon local.
Pour en savoir plus : France Info / Tout est politique – du 03 octobre 2017

Publié dans : ,