Les marchands de sommeil, triste visage du mal-logement

Dans deux hangars industriels d’Aubervilliers (Seine-Saint-Denis) faisant office d’abattoir à poulets, de salle de culte évangélique et, le samedi, de bar-discothèque, une dizaine de logements étaient loués entre 250 et 400 euros par mois, payés en liquide. Une quinzaine de locataires roumains et africains devaient, dans une odeur nauséabonde, subir des nuisances sonores mais aussi la présence de rats, cafards, moustiques, se partager un point d’eau unique, se passer de chauffage et s’exposer à une installation électrique dangereuse, sous un plafond percé…

Pour en savoir plus :
www.lemonde.fr – du 31 janvier 2017

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