« La radicalisation relève de la santé publique »

Kamaldeep Bhui, professeur de psychiatrie à l’université Queen Mary de Londres, étudie le lien entre culture, origine ethnique et santé mentale chez les personnes issues de l’immigration. Appliquant les méthodes de recherche propres à la santé publique, il a cherché à identifier les facteurs de risque de radicalisation en interrogeant 608 personnes d’origine pakistanaise et bangladaise issues des milieux musulmans et vivant dans l’est de Londres et à Bradford.

Pour en savoir plus :
http://abonnes.lemonde.fr – du 15 décembre 2015

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