Damien Carême, hôte estime

C’est l’histoire d’une ville qui, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, n’existait presque plus. A peine un millier d’habitants, la plupart des bâtiments détruits par les Allemands. Sept décennies plus tard, son nom circule d’oreille en oreille dans tout le Kurdistan. Grande-Synthe, commune du Nord, est devenue la dernière étape pour les Kurdes de Syrie, d’Irak ou d’Iran, avant de tenter de rejoindre le Royaume-Uni. Pour quelle raison ?…

Pour en savoir plus :
Libération – du 20 mars 2017

 

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